2022-06-07 / Presse / Critique spectacle
Du 7 au 30 juillet, 1 570 spectacles se joueront dans 138 théâtres et lieux pour le 56e Festival Off
En savoir plus2022-06-07 / Presse / Critique spectacle
Plusieurs nouveautés attendent les publics du 56e Festival Off d’Avignon. À commencer par le déména
En savoir plus2022-06-01 / Presse / Critique spectacle
Pour sa 56e édition, le Festival Off innove, sous l’impulsion des nouveaux présidents Harold David e
En savoir plus2022-05-24 / Presse / Critique spectacle
C'est une grande première. L'affiche du Festival Off d'Avignon (1 540 spectacles du 7 au 30 juillet)
En savoir plus2022-05-21 / Presse / Critique spectacle
Du 7 au 30 juillet, le Festival Off fera son grand retour à Avignon-sur-scène. A l'affiche, 1540 spe
En savoir plus2022-05-20 / Presse / Critique spectacle
Le festival Off Avignon, qui réunit chaque été des centaines de compagnies, a dévoilé son affiche de
En savoir plus2022-05-21 / Radio / Critique spectacle
À J-46 avant l’édition 2022 du Festival Off d’Avignon, chacun l’attendait avec impatience : l’affich
En savoir plus2022-05-22 / Presse / Critique spectacle
Festival Off Avignon : 1 540 spectacles et le plein de nouveautés à savourer cet été...
En savoir plus06.08.21 / Presse / festival
Oui, le festival d’Avignon Off a eu lieu, et c’est déjà un triomphe en soi. Le directeur délégué de l'Association Avignon Festival et Compagnies, Nikson Pitaqaj, tire le bilan d’une édition finalement moins douloureuse et plus sereine que ce qui était attendu, malgré des difficultés financières à colmater.
En savoir plus04.08.21 / Presse / festival
Nikson Pitaqaj, Sébastien Benedetto respectivement directeur délégué et président d’Avignon festival et compagnie (AF&C) et Victor Quesada Perez vice-président des compagnies ont fait un pré-bilan chiffré de cette 55e édition du festival Off qui a lieu du 7 au 31 juillet 2021. L’année 2021 fait écho à 2012 en termes de chiffres
En savoir plus2021-04-08 / Presse / Critique spectacle
Le Festival Off d’Avignon s’achève le 31 juillet. L’édition de la résistance pour les artistes après l’annulation en 2020. La fréquentation a été fluctuante selon les théâtres qui étaient cette année 116 à ouvrir leurs portes au lieu de 124 en 2019. Sébastien Benedetto, le Président de l’association AF&C et Nikson Pitaqaj, son directeur délégué ont présenté le bilan chiffré. A 3 jours de la fermeture du Off, 36342 cartes d’abonnement ont été vendues contre 66786 en 2019. Interview croisée.
En savoir plus04.08.21 / Presse / festival
Le Festival Off d'Avignon s'achève le 31 juillet. Une édition moins riche cette année, avec 1 000 spectacles (tout de même) au lieu de 1 500 en 2019, et une fréquentation fluctuante dans les théâtres qui étaient cette année 116 à ouvrir leurs portes, au lieu de 124 en 2019.
En savoir plus04.08.21 / Presse / festival
Le Festival off d'Avignon s'achève samedi. Malgré l'absence d'un tiers des spectacles par rapport à 2019, la baisse de fréquentation n'est que d'un quart. Le ministère de la Culture promet des aides pour les compagnies. La fréquentation est bonne selon le président d'AFC.
En savoir plus04.08.21 / Presse / festival
La 55e édition de ce vaste rassemblement théâtral s’achève samedi 31 juillet sur une fréquentation en baisse par rapport à 2019.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Impressionnant ! Le sujet ? Bateau s'il en est… la vie d'un couple et ses vicissitudes. Les protagonistes ? Déjà moins banal… Julien et Nadège, jeunes trentenaires, couple à la ville avant de se retrouver, eux et leurs deux prénoms au plateau, en tête à tête, en face à face, dos à dos, etc. La mise en jeu ? Une suite de jeux (ré)créatifs et explosifs… Le résultat ? Une bombe d'énergie, d'intelligence et de générosité absolue.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Harcèlement, maltraitance ponctuelle ou récurrente… à l'école, à la maison, au travail, comment le traiter sur scène, comment prendre ou pas position ? Ici d'ailleurs, pas de prise de position, mais une exposition des faits, du déroulé des événements, en une manière de monologue où la comédienne Claire Cahen habite tous les personnages principaux, offrant l'accès au public à différentes appréciations du drame - victime, tyran, prof, mère - menant à une mise en perspective vertigineuse !
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Jeunesse amoureuse, frondeuse et insoumise. Amour acté et signé sans consentement de leurs géniteurs et, en secours rusé mais généreux, l'homme Scapin au pedigree de valet futé donne la cadence de la danse. Dans un pur esprit de troupe, Emmanuel Besnault et une ribambelle de comédiens musiciens chanteurs nous prouvent, avec impétuosité et fraîcheur, l'intemporalité du texte de Molière.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Avignon 2021, cinquième épisode : “The Sheep Song”, “Une femme en pièces”, “Any Attempt…”, “Mister Tambourine Man” assortis de trois coups de cœur du OFF
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Dans les rues d’Avignon, on court les salles et on flâne dans les cafés et les restaurants, avec une température plutôt fraîche pour la saison et un mistral qui souffle, nous protégeant cette fois des chaleurs caniculaires. Atmosphère détendue et propice à la découverte alors que les spectateurs du Off sont deux fois moins nombreux. Pour vous guider, nous avons sélectionné quelques unes des créations à découvrir cette année.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Depuis un an et demi, ils sont sur les starting-blocks. Comédiens fauchés en pleine répétition par la crise du COVID, compagnies lessivées par l’annulation des représentations, théâtres en déshérence en manque d’art et de public. Dépassées les restrictions de jauge mais avec le masque obligatoire, les 1070 spectacles du festival OFF programmés dans 116 lieux ont tous débuté le 7 juillet et le public réserve déjà beaucoup, remplissant parfois certaines salles. Voici une première sélection des créations à ne pas rater.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Fantaisie historique de la Compagnie Théâtre du Faune, mise en de Fred Robbe, avec Olivier Blond, Bertrand Chevalier, Fabrice Provansal et Fred Robbe.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Monologue dramatique d'après l'oeuvre éponyme de Stefan Zweig interprété par Esther Candaës dans une mise en scène de Isabelle Ramade et Jean-Louis Manceau.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Monologue dramatique de Gary Owen interprété par Morgane Peters dans une mise en scène de Blandine Pélissier.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Spectacle poético-musical de B-Astre. Toute de bleu vêtue, la chanteuse belge B-Astre rejoint son piano pour proposer ses compositions à partir de son vécu.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Comédie dramatique de Lola Molina, mise en scène de Lélio Plotton, avec Antoine Sastre et Charlotte Ligneau.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Comédie dramatique de Matt Hartley, mise en scène de Paméla Ravassard, avec Benjamin Penamaria, Garlan Le Martelot, Emilie Piponnier, Stefan Godin, Karina Beuthe Orr, Emilie Aubertot et Sébastien Desjours.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Comédie dramatique de Tonino Benacquista, mise en scène de Stanislas Rosemin, avec Olivier Douau et Jérôme Jean.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Il se propose de rendre un hommage à Arsène Lupin. Il va, à partir de sa connaissance du musée dédié au gentleman cambrioleur, proposer de résoudre toute une série d’enquêtes. C’est profondément énervant, il pose des questions à tout un lot de spectateurs et chaque fois, c’est le sans faute. Pensez à un chiffre, une personne, un objet et à chaque coup il écrit la réponse sur son ardoise... Ce qui est sûr, c’est qu’il n’y a pas l’existence d’un être supérieur, il y a un truc... mais lequel ?
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Belle question que l’on se pose depuis des années. Françoise Dolto est née dans un milieu bourgeois de droite pour ne pas dire d’extrême droite. Très tôt, elle se manifeste par des questionnements où les adultes ont du mal à répondre. Très tôt elle se protège en créant un BAG (bon ange gardien) qui sera sans cesse derrière elle. Elle voudra faire des études en s’opposant à sa mère qui est contre, mais parviendra par étapes à faire ce qu’elle désire. Petite fille extrêmement précoce, elle va être contrainte de rester connectée à son enfance. On la sent si libre, si sûre d’elle, on la voit débuter dans ses théories sans retour arrière, sans hésitations. Elle va poursuivre tout au long de sa vie.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Elle et lui vivent en couple, ils ont tout pour être heureux et pourtant ils ne le sont pas. Il a même remarqué que son frigo est triste, c’est peu dire. La tristesse les envahit. Ils vont voir leurs voisins qui affichent avec outrecuidance un bonheur parfait bavant sur tout l’intérieur de leur appartement. On ne peut s’empêcher de penser à ce courant de pensée né après mai 68 où on recherchait le bonheur à tout prix. La façon de parler, les expressions et les attitudes de la voisine sont en plein dedans, attitudes et discours qu’on va retrouver dans les années 90. Le bonheur, ça se cultive, se met en mots, s’affiche dans le design, le Feng Shui. Alors en rendant visite à leurs voisins ils vont tomber dans la marmite du bonheur comme Obélix chez les Gaulois.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Maupassant et sa folie... causée par la syphilis. Il a vingt-sept ans quand le diagnostic tombe en 1877, et cette maladie va lui ronger l'existence à partir de ce moment-là. Mais les années 1880 à 90 vont être les plus fécondes, malgré des troubles oculaires qui le gênent. On a un auteur qui a une œuvre magistrale écrite en seulement dix ans, quelle perte pour la littérature française ! Et l'homme est si tendre, prévenant… Il ne faut pas s'étonner de savoir qu'il a eu beaucoup de conquêtes dans le beau milieu comme dans les bouges.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
1916, la première guerre mondiale aligne ses milliers de morts. Dans le désert d’Arabie contrôlé par les Turcs, un jeune archéologue anglais poursuit ses recherches. Comme il maîtrise la langue et les dialectes locaux, les Anglais voient en lui un utile agent de renseignement. Les Arabes dans le même temps l’adoptent et le considèrent comme un des leurs. Il va faire tout son possible pour préserver leurs intérêts et les aider à bâtir une nation arabe. Malheureusement Lawrence ignore que les gouvernements français et anglais ont signé l’accord Sykes Picot qui prévoit le découpage de la région à leur seul profit, écartant les arabes du pouvoir.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Dans le cabinet d’une psychanalyste, un patient est en proie à des douleurs et des crispations qu’il attribue à une statuette qu’il a baptisée Atikté, dont il affirme être l’auteur. Pourtant cette statuette est bien connue, c’est une danseuse de Degas. Le face à face entre la psychanalyste et le patient, fait ressurgir de vieux démons. On découvre qu’elle est Juive allemande. Lui, il est Palestinien mais a été élevé par des Juifs allemands, ils ont donc un fond commun, une histoire proche, une même langue... se pose alors la question de la mémoire et aussi de l’identité pour déboucher sur la question fondamentale de l’individu.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Dans un vieux manoir perdu au bord de la mer, sur une lande désertique, vivent une dame et son serviteur. Une dame qui veut avoir des airs mais n'en a guère, son serviteur essaie de pourvoir à son éducation. Ils parlent beaucoup entre eux, étant toujours seuls car les invités n'affluent pas. Leurs discussions sont des joutes verbales dans lesquelles les humiliations sont à profusion de la part de la dame qui souffre de cette solitude, causée par une rencontre avec un officier de la marine qui est toujours espéré mais qui n'apparaît jamais. Seul subsiste entre elle et lui un bouton de vareuse, modeste souvenir involontaire. Mais maintenant le temps passe et les désillusions s'accumulent, nous arrivons à la fin du service.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Elle est autrice, Il est technicien lumière. Ils s'aiment intensément avant, pendant l'Adeno Nuitome, terme poético-scientifique pour désigner sa maladie, le cancer. Ils décident de se créer leur univers végétal teinté de rock en quittant Paris. Ses récits de tournée se mêlent à son travail d'écriture qui n'advient pas toujours. Après sa visite chez le médecin, l'élan créateur revient, comme une pulsion vitale pour fêter la vie devant elle.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Une comédie qualifiée de palier, parce qu'elle se déroule sur un palier, quoi de plus normal. Ils sont deux, Damien et Christelle mariés depuis quelques années, elle travaille dans l'écologie, il écrit des livres pour enfants. Ce soir, ils partent dîner chez les parents de la jeune femme et au moment de fermer la porte, sur le palier, Christelle pose un ultimatum à Damien : elle veut un enfant poussée par son âge et son désir d'être mère. C'est brutal de recevoir une telle demande sur un palier à froid, sans décorum ni préambule... Damien le reçoit comme un uppercut, il ne sait pas comment réagir, il ne sait pas faire face à cette détermination de bulldozer.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Un livre qui n’en est pas un dit-elle. Elle va y évoquer la mère, l’amante, la femme au foyer, sa rencontre avec Yann Andréa, l’écriture, l’alcool, et ses films. Un panorama de sa vie en fait. L’alcool n’est pas seulement présent dans son récit, il est présent physiquement, des bouteilles et des verres sont disposés un peu partout lui permettant de se servir régulièrement Elle écrivait à ce sujet : « Boire ce n’est pas obligatoirement vouloir mourir, non. Mais on ne peut pas boire sans penser qu’on se tue. Vivre avec l’alcool, c’est vivre avec la mort à portée de main ».
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Caroline Rainette est allée fouiller l'histoire pour extraire la vie d'Alice Guy la pionnière du cinéma tombée complètement dans l'oubli. En 1896, elle est la première à avoir l'idée de réaliser un film de fiction. Elle va par la suite tourner plus de 1000 films aux côtés de Méliès, Lumière et Gaumont. Beau parcours mais qui sombre dans un total oubli. On ne retrouvera que peu de films de cette personne. Pourtant cette jeune femme entreprenante et courageuse, a su combattre les idées reçues, imposer une femme dans une milieu masculin, créer et créer encore. Suggérer l'idée que la femme peut faire ce que font les hommes. Elle va petit à petit faire sa place, imposer ses idées et aller jusqu'à créer les plus gros studios de cinéma à une époque où rien n'existait.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Vu d’ici évoque la multiplicité des points de vue, des sons, seul, à deux. Cette boule à facettes diffracte ces voix sans jamais nous perdre. Tout est au juste endroit. Alexis Armengol nous immerge dans la relation entre deux frères, Stéphane et Frédérick, qui créent un podcast sur leur relation à la schizophrénie dont souffre Fred, l’aîné. La mise en abyme se fait grâce à un dispositif sonore binaural où chaque spectateur a la liberté de s’équiper d’un casque. Des sons préenregistrés se mêlent au direct du plateau.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Éric Bouvron est sur tous les fronts, sous toutes les latitudes auprès de peuples en danger bien souvent. C’est un globe-trotter invétéré, il lui faut sans cesse aller d’un continent à l’autre. Et chaque fois, il en ramène une aventure théâtrale originale. On se souvient de « Les Cavaliers » un spectacle époustouflant en Afghanistan, un de mes plus beaux souvenirs théâtral, quelle dimension… à couper le souffle. Puis il y eut « N’Gubi le bush man » puis Marco Polo en Mongolie, Zorba en Crète, Maya aux États Unis et enfin Laurence d’Arabie et Roland Garros... tant de pièces.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Pourquoi dormir sous le lit ? La question est digne d’intérêt, en principe on dort dans un lit, pas dessous. Mais ici la question a une réponse : parce qu’il n’y a pas de place ailleurs et que le monsieur qui dort sous le lit est un immigré en prime. Nous vivons une époque à quelques années de la nôtre où on a légiféré pour les immigrés, donnant aux familles qui en loge un une prime. On n’a pas précisé au passage où on pouvait permettre de vivre à la personne en question.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Quelle gageure, entreprendre une rencontre avec Léonard de Vinci par l'entremise de la Joconde. Il faut oser, mais c'est une belle idée. Cette pièce pour ados et enfants est une petite merveille qui contient une multitude de points d’intérêts. Nous nous trouvons dans le Louvre au moment de la fermeture devant le tableau de Léonard de Vinci, la Mona Lisa dite la Joconde, qu'une jeune artiste essaie de reproduire. Et voilà que dans le silence du musée le tableau s'anime, prend vie et sort de son cadre. La Joconde qui s'ennuie dans le Louvre va proposer à la jeune fille de venir rencontrer Léonard dans son atelier. Marché conclu et c'est au milieu de ses œuvres qu'on les revoit en compagnie du jeune frère de l'artiste en herbe. Bien sûr la rencontre est fabuleuse, le maitre est généreux, humain, accessible... que du bonheur.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Une belle prestance, une allure de matamore, sanglé dans un costume blanc, le capitaine Fausto Consolo cache son mal être derrière une façade dure et dédaigneuse vis à vis de son entourage. La perte de la vue suite à l'explosion d'un engin militaire provoque en lui une diminution inacceptée, un handicap qu'il ne veut pas reconnaître, qu'il veut négliger. Il utilise alors un jeune conscrit pour lui ouvrir son chemin, pour l'aider à se déplacer, pour être son regard. Par contre, il a développé une faculté curieuse, l'odorat, qui lui permet de savoir si une femme se trouve dans les parages, laissant derrière elle un parfum caractéristique qu'il peut décoder.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Être riche et célèbre, talentueuse et admirée ne vous ouvre pas forcément les portes du bonheur. C'est avant tout ce qu'on peut retenir à propos de Dorothy Parker. Souvenez-vous, elle tenta de se suicider à trois reprises, fut mariée trois fois et ses cendres après sa mort ont connu bien des vicissitudes… Elle avait proposé pour son urne funéraire l'épitaphe : pardon pour la poussière. De son vivant, elle était pour ses amis tant une personne amusante que tragique.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Immersion en Inde au Rajasthan sur les pas d'une petite fille, Teju Behan. On est dans un milieu défavorisé mais où règne la joie de vivre pourtant. Elle participa aux travaux des champs en ne perdant pas de vue les trains qui passent, porteurs de rêves et d'espoirs. Un été plus chaud que les autres ruine cette famille et bien d'autres et leur issue est d'aller à la ville trouver du travail. Téju va vivre dans un bidonville, se marier et ensuite vivre sur les routes en chantant jusqu'au jour où elle découvre le dessin et là c'est une nouvelle vie pour elle. Il n'y a pas de déterminisme social, on peut toujours aller contre et sortir de son état pour entrer dans un autre.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
a mystifié bien des gens par ses propositions picturales. Jacques Mougenot a écrit une conférence pour présenter ce peintre contemporain dont la dernière vente eut un succès remarquable. Philippe Dussaert (1947-1989), plasticien, initiateur du mouvement vacuiste dans les années 80’ est une figure emblématique. Sa dernière œuvre va provoquer un large émoi dans le milieu des collectionneurs tant elle va se vendre à un prix énorme et susciter tant de controverses au sein du monde culturel et politique. Il était d’autant plus utile de rappeler un tel événement que l’actualité́ de l’époque l’avait (guerre du Golfe oblige) quasiment passé sous silence à ce moment-là.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
En pleine nature, à proximité d’une fête foraine ? ou d’un port dont on entend les sirènes des bateaux, enfin on ne sait pas trop... une cabine téléphonique, de celles qui n’existent plus en France, de celles qu’on a souvent transformé en mini bibliothèque. Mais celle-ci fonctionne, elle est toujours raccordée. Mais elle est curieuse car elle se déplace seule, elle fait comme une danse avec le personnage qui a apparu à ses côtés. Lui, il téléphone, pas longtemps juste quelques mots et il ressort de la cabine. Dehors des balises lumineuses se promènent elles aussi créant comme une procession tenant compagnie à cet homme qui semble en difficulté. Il est là comme en suspens, en sursis. Il est là dans une solitude extrême, mais une solitude qu’il a recherchée. Puis surgit son image, sorte de marionnette qu’il manipule, élément de sa désincarnation. Elle est ce qui subsiste de lui.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
C’est la réunion de famille dans la maison de campagne familiale pour le mariage d’une des filles. Un week-end chargé pendant les grandes marées. Des retrouvailles et des rencontres qui vont perturber la jolie quiétude espérée par tous. Voilà le contexte : source de crises, de conflits, de rires, de débordement, de joie, de peurs. Les réunions de famille, cérémonies funestes ou joyeuses à l’importance douteuse, sont des événements, des situations houleuses qui sont régulièrement le sujet de pièces, de films, de romans. On se souvient de Festen, ou d’Un air de famille, du Prénom et plus encore de Rachel de Marie de Jonathan Demme sorti en France en 2008, film dont se sont inspirés les comédiens pour cette écriture collective.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
« Comme l’arbre nous avons besoin du sourire de nos racines pour grandir, pour voir loin » Guillevic est venu au monde dans un univers pierreux au milieu des marins bretons. Le poète de la lande bretonne, poète de l’impossible, poète de la pierre et de l'arbre ancré au bord de la mer, vivant dans un univers sans hiérarchie. Au travers de deux comédiens, c'est tout l'univers de Guillevic qui accourt. On les suit dans leurs exclamations, leurs étonnements, leurs rires qui se perdent en écho dans la lande.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Peter Pan est un garçon qui refuse de grandir et vit dans un pays imaginaire au milieu des « garçons perdus » et à proximité du capitaine Crochet qui rode à bord de son voilier pour se venger de l’affront subi il y a quelques années. Un soir Peter va chez les Darlings et persuade leur fille de le suivre dans.... le pays imaginaire. Elle va rencontrer les « garçons perdus » parce qu’en quête d'une mère, et alors pourquoi pas elle pour jouer ce rôle et il y a Crochet et sa clique qui n'a qu'une idée en tête : tuer Peter Pan. Il y a aussi la fée Clochette très jalouse et pas toujours clean, qui essaie de garder sa place auprès de Peter Pan dont elle est amoureuse sûrement.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Antoine de Saint-Exupéry un auteur fabuleux. Il a écrit un des plus beaux livres, un livre culte qu'on lit et relit encore au cours de sa vie : « Le Petit Prince ». Mais il est vrai que derrière ce livre il y a un homme à la vie tumultueuse, au grand courage. Il fut un des pionniers de l’aéropostale et un pilote d'avion durant la guerre de 40. Le 31 juillet 1944, St Exupéry décolle à bord de son Lightning pour une mission de reconnaissance puis il disparaît des radars au large des côtes françaises. Durant des décennies, sa disparition fera l’objet de tous les mystères… un accident ? un suicide ? un tir ennemi ?… serait-il encore en vie ? Là c'est peu probable !
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Conte moderne, un peu inquiétant, un peu fantastique, Le garçon qui ne parlait plus est avant tout une aventure menée par une bande de jeunes filles et garçons dans un monde inventé. Un monde qui se réduit ici au « Village ». Village particulier, comme vous allez le voir et comme on le découvre au fil du spectacle. Dans ce village, le bonheur est de mise. Il est conseillé. Il est même obligatoire. L’argent n’y existe pas, on n’y travaille pas. On ne fait que des activités ludiques ou bien l’on s’occupe des nécessités de la commune, comme l’école. On y vit en bonne entente avec les autres, avec le voisinage, avec tout le monde. C’est comme une utopie joyeuse. On y rit. On y fait des blagues.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Peer Gynt était un garçon peu respectable, Il a passé son enfance dans un taudis auprès de sa mère. Très tôt il s'est fait remarquer pour son côté mauvais garçon sa propension à mentir. Il va partir de Norvège exercer différent métiers, il deviendra même prophète et guide spirituel mais aussi marchand d'esclaves et va devenir très riche. Il rentrera alors dans son pays mais une tempête va faire sombrer son navire avec ses lingots. Il est à nouveau ruiné mais il va donner un autre sens à sa vie en cherchant « qu’est ce qu'être soi-même » il va enfin comprendre la vacuité de l'existence.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Des situations rapides s'enchaînent créant une gêne, presque une angoisse. Puis le jeu démarre, de courtes scènes qui trouvent une cohésion chacune entre elles... ainsi peu à peu le récit s'installe et les personnages prennent de l'épaisseur. Frédérique et sa sœur Salomé se retrouvent après le décès de leur mère, pas facile à vivre tellement elles ont différentes. L'une est chanteuse lyrique, l'autre photographe. Puis il y a les biens dont elles héritent, la nouvelle vie qui démarre pour elles. À l'étage en-dessous vivent Pierre et Leila. Il est thanatopracteur et elle juge pour enfants. Leur couple bat de l'aile et il y a leur fille au milieu. Un soir Salomé tombe sur Zabi un instituteur immigré qui s'est installé dans le local à poubelle. Pierre va intervenir et prendra Zabi en amitié. Plus rien ne sera comme avant. Une amitié se développe.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Quand on parle de scène conjugale, on voit tout de suite le rouleau à pâtisserie, les cris, les objets qui volent avant de se fracasser au sol. Là, on est dans la mesure, le verbe est poli, les situations sont calmes. Les femmes ont de la retenue, de la maîtrise. L’homme aussi il est vrai. Ils ont puisé dans Jacques Lacan, Shakespeare, Molière, Courteline, Ibsen et Bergmann plus quelques autres. Alors devant des portants, ils investissent leurs rôles, se mordent un peu, s'égratignent à peine pour nous donner une anthologie des combats menés par les femmes depuis bien des générations.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
À l’origine, Job est un personnage de « l’Ancien Testament » très riche et très pieux. Un jour, Dieu décida de tester sa foi, et demanda au Diable de lui envoyer de nombreuses catastrophes. Job, loin de renier son Seigneur, décida donc de vivre dans le dénuement le plus extrême. Cette histoire est à l’origine de notre expression apparue au XIVème siècle.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Un intérieur sombre, funeste présage... Nous sommes à Vienne, ville cosmopolite où se retrouvent bien des intellectuels et des artistes. Bien des choses sont latentes, on sent les prémisses d'un avenir différent, c'est sournois. Sur le banc d'un jardin municipal, un certain Adolf se repose et fait des aquarelles de monuments. Il est inscrit aux beaux-arts, à moins qu'il ne désire y être inscrit. Il va rencontrer Hugo Von Klast un membre de l'aristocratie viennoise, profondément antisémite.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Adèle, chanteuse, comédienne, danseuse de claquettes est passionnée par l'univers de Paul Gershwin, le compositeur phare qui a conquis le monde entier avec son jazz aux rythmes afro-américains. Mais elle est désordonnée, fantaisiste, manque de rigueur technique et doit apprendre à canaliser son énergie pour tendre vers une forme de perfection à laquelle elle aspire. Paul, lui, est un pianiste talentueux, exigeant, mais solitaire, plutôt académique et coincé derrière son tabouret poussiéreux. Paul accepte de donner des cours à Adèle pour l'aider à travailler le registre de Gershwin.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Ouvrons… ouvrons la Boîte à Histoires… Avignon, 10h15. Rues tranquilles encore. Le soleil gratouille les ruelles, déjà chaud. Le Festival grince doucement, ses portes trop longtemps verrouillées. Pour moi, premier spectacle officiel, à l’Optimist. Catarina et son frère Horacio nous attendent. En réalité, c’est nous qui les attendions, impatients, gourmands. Et notre attente… Bon sang, bon dieu – s’ils existent – que ce fut bon ! Ok ok je vais vite mais… Bon ! Avez-vous déjà participé à un Bal, un grand Bal, avec des animaux de la Forêt du nord de l’Argentine ? Hein ? Oui ? Non ? Imaginez.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Septembre 1973, l'Italie est en pleur et des milliers de romains sont aux funérailles de Nannarella. Dans l'église une voix s'élève, celle de cette icône italienne, de cette femme féministe, originale, antifasciste et libre, elle parle mais ne mâche pas ses mots. Née de père inconnu, délaissée par sa mère, elle va révolutionner la représentation de la femme au cinéma et inspirer les plus grands metteurs en scène, Rosselini, Visconti, Fellini, Pasolini, Renoir, Kukor, Lumet... ce n'est pas elle qui est façonnée par les cinéastes, c'est elle qui impose sa façon d'être.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Revue par nécessité. Parce qu'il faut des personnes qui témoignent et d'autres pour les écouter, mais surtout parce que ce qu'elles nous disent ne doit pas être paroles en l'air, je suis allée revoir la pièce Femme non rééducable, Mémorandum théâtral sur Anna Politkovskaïa. Entre presque rien et ... presque rien, il y a parfois beaucoup. Vue en 2020, dans un Festival réduit à peau de chagrin, sous la forme naissante d'une lecture théâtralisée, j'avais hâte d'en découvrir la mise en scène prévue pour cette Édition 2021. Sans attendre j'ai aussitôt couru assister à la Générale.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Ju-bi-la-toi-re ! Sur la scène, une malle de voyage débordante d’habits, un piano droit, quelques masques épars. Deux comédiens pour trois personnages, la Prima Donna Mirandolina qui aspire à la célébrité, Lorna Glodoci (anagramme de Carlo Goldoni), auteur et l’imprésario Tolomeo Nattaggessi.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Est-il utile de vous présenter Petite Valse Viennoise, Berceuse pour Lorca ? Ben oui ! On sait peu, en France, qu’avant d’être un grand poète et un auteur de théâtre, Federico Garcia Lorca se destinait à être musicien. Jusqu’à l’âge de 18 ans, il passe son temps à faire du piano, de la guitare, à étudier la musique, l’harmonie, à composer. Lorca était la musique.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Époustouflant, caustique à souhait ! Stéphan Caso m'a toujours étonné, mais là...! To be or not to be Avignon, une pièce en vingt tableaux, interprétée par un seul comédien, l'auteur lui-même, qui endosse l'habit de pas moins de vingt-sept personnages, rendez-vous compte, le tout avec une délectation formidable. Point de superlatifs dans ce propos, croyez-moi, mais l'affirmation d'une évidence : Stephan Caso est fabuleux. Pourtant, le sujet n'a rien d'une fable. Il s'agit plutôt d'une réalité historique retraçant à merveilles les épisodes les plus marquants de la vie d'Avignon, de l'origine à nos jours.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Une pièce un peu folle comme on en rencontre parfois. Pas de la folie ordinaire, non rien de cela, une folie ancrée dans les personnages qui en sont, il est vrai, conscients mais qui parfois ont envie de s'en échapper. Tout démarre dans un bar du Bronx, un bar paumé, vide sombre. Il y a Roberta à une table et Danny à une autre, on l'appelle « la bête » à cause de sa violence perpétuelle. Mais ces deux esprits écorchés vifs vont se rapprocher peu à peu par petites touches et peu à peu ils vont s'apprivoiser un peu pour enfin faire le rêve d'être heureux ensemble. Mais il se peut que ce ne soit qu'un rêve.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Il arrive pour sa conférence, un peu emprunté, un peu gêné. Mais rapidement il se prend en main et commence son discours qui semble rôdé. Il va tout nous dire de l'univers des comédiens, leurs trucs, leurs mots, leurs forces. Il va tout déballer dans une conférence sur l'art de la scène. Ainsi on apprend pourquoi on ne porte pas de vert, pourquoi on se dit merde, comment se nomment les différents lieux de la scène : côté cour et côté jardin, le lointain, les pendants...
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Erik Slabiak, fondateur du groupe les « Yeux noirs » a sillonné le monde durant vingt-cinq ans avec mille huit cents concerts. Aujourd'hui, il a formé un nouveau groupe JOSEF JOSEF. Ce nom est le titre de la chanson préférée de son père et c'est pour cette raison qu'il l'a choisi. « Lorsque mon père entendait cet air-là, son visage s'illuminait d'un sourire ému ». Le violon a toujours joué un grand rôle dans la culture juive d'Europe de l'Est et dès les premières notes, c'est une invitation au voyage qui nous éclabousse. Il est au centre de la scène et l'on ressent comme une fusion entre l''instrument et le violoniste qui ne forme qu'un seul corps.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Greg rêve d'être comédien. Mais il est confronté à la réalité et sa femme lui demande de trouver un véritable travail. Après plusieurs entretiens d'embauche infructueux, il apprend à se présenter comme un winner full options, qui sait même transformer ses défauts en qualités. Il décroche chez Goodyear un job de vendeur de pneus par téléphone. Il s'agit surtout de savoir vendre un produit à des gens qui n'en ont pas besoin et qui n'ont pas d'argent pour le payer ! nous explique-t-il, lucidement et cyniquement. Ainsi par exemple des pneus avec lumière LED intégrée !
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Pièce de Harold Pinter c’est une pièce sur les rapports familiaux, le mariage et la famille. Nous assistons au retour de Teddy qui revient chez son père où vivent aussi son oncle et ses deux frères. Il était parti depuis six ans aux États-Unis où il enseignait la philosophie et où il vivait avec sa femme Ruth. Max repense à sa femme infidèle en voyant Ruth, Sam associe Ruth à la belle sœur qu'il aimait promener dans son taxi, Lenny revoit la mère adultère, Joe voit en elle une femme qui pourrait lui donner toute l'affection dont il a été frustré, chacun ainsi a sa propre vision en fonction de ce qu'il est .
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Imaginez la situation, un homme qui se fait passer pour mort pour éviter de se marier, vous ne le croiriez pas et pourtant il s'agit d'une histoire vraie au départ. Notre héros va user de tous les artifices pour monter son décès en épingle avec la complicité de son ami, mais y parviendra-t-il correctement ? Son amie, avec qui il devait se marier, passée la tristesse, avec une relative rapidité, ou beaucoup de lucidité songe à son avenir ou fait semblant... à vous de voir. Mais en tout cas elle ne s'éternise pas dans la douleur. Le résultat c'est une comédie originale, enlevée et trépidante.
En savoir plus30.07.21 / Radio / Critique spectacle
En général, lors du festival d'Avignon, je vois du théâtre. Aussi, un peu sceptique lorsque l'attachée de presse Dominique Lhotte me conseille d'aller à ce spectacle. Je pensais découvrir une conférence académique, un peu ennuyeuse sur l'histoire de l'art. Elle a insisté, et comme elle a bien fait ! Une immense mosaïque de diapos de très haute définition comme décor. 4000 tableaux vus, revus et photographiés un par un, par Hector Obalk. Un assemblage époustouflant, un travail titanesque où seule la passion peut conduire.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
C’est une fin de journée, dans un commissariat de l’ouest de la France, l’officier de police, une femme, se repose quand entre une dame valise à la main, un peu gênée. Elle veut faire une déposition, elle avoue avoir tué son mari… il y a bientôt 20 ans et on est à un jour de la prescription. Ce crime était connu comme un suicide et avait été classé. Quand elle dit cela, la policière ne veut pas enregistrer sa déposition, elle lui conseille de partir de rester libre... mais cette femme tient tête, elle veut être condamnée, elle a tué, il faut qu’elle purge sa peine...
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Là on entre dans un nouveau genre théâtral totalement original, du « théâtre immersif ». Le théâtre c’est la rue avec ses passants, ses véhicules, sa vie. On vous a donné rendez-vous à l’angle de deux rues. Une jeune fille vous explique comment les choses vont se dérouler et vous aide à régler votre téléphone. Puis les choses s’enchaînent. Arrive une comédienne dont on entend la voix dans nos écouteurs. Approche un comédien et ils parlent via les écouteurs. Puis ils se déplacent, les passants sont parfois intrigués, parfois réagissent comme hier quand la jeune fille fait mine d’avoir un malaise, une infirmière est venue pour s’occuper d’elle croyant à une réalité. On suit son périple physique dans les rues et mental dans nos oreilles.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Un spectacle musical didactique pour nous faire connaître Francois Courdot, un chef d’orchestre français parti s’installer à Broadway au cœur même d’un genre qu’il affectionnait : la comédie musicale. Samuel Sené a recherché tous les éléments lui permettant de retracer le parcours de ce musicien méconnu. Mais derrière l’image de cet artiste, se posent les questions des chapelles musicales, de la place de l’artiste dans le paysage socio-politique, de la réalité d’un artiste face à son ambition.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
On retrouve Chaplin en pleine écriture, il prépare un nouveau film à son bureau à côté d’un projecteur. Le film sera-t-il muet ou sonore, se pose la question, une question fondamentale… car il a basé sa carrière sur le cinéma muet et arrive à présent le cinéma sonore, remettant en cause les principes des films passés. C’est fondamental car ça touche les fondements de la réalisation de Chaplin. Mais son soucis à présent c’est d’écrire un nouveau film mettant en scène Hitler. Pari osé, même dangereux. Déjà que Chaplin n’est pas soutenu par le gouvernement américain, puisque suspecté de communisme. Attaquer Hitler devient un pari assez fou. Mais Chaplin veut attaquer de front Hitler, sous prétexte qu’il l’a copié avec sa moustache (ça c’est de l’humour !).
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Encore un Farré nouveau. Farré a encore frappé... Le voici encore avec son éternel piano, pas en bandoulière mais presque. Il est en scène quand on rentre dans la salle, il est là jouant avec application… on comprend par la suite pourquoi : il est devenu un chauffeur de piano, il prépare ainsi le piano pour son concert. Mais rien ne se déroule comme prévu, il y a toujours un incident sur le trajet.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Convoquer Brel et Barbara pour un tour de chant, les inviter à chanter tous les deux... quelle gageure, comment imaginer cela ? C’est du domaine de l’impossible, ça ne peut qu’être un rêve imaginaire évidemment. Ainsi tous les deux, Mario Pacchioli et Laurent Brunetti ont voulu mettre en scène ces deux monstres de la chanson, ces deux personnalités si fortes de la chanson.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Dans les forêts de Sibérie est un récit autobiographique de Sylvain Tesson Le livre est le carnet d’ermitage de l’auteur. Il a vécu six mois en Sibérie, dans une cabane sur la côte nord-ouest du lac Baïkal, près de la réserve naturelle de Baïkal-Léna, à 120 km du village le plus proche, sans route, vivant de pêche, de bûcheronnage, de marches, de lecture et de vodka.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Je ne suis pas pour l’écriture inclusive mais a l’affiche de cette pièce, elle trouve sa juste place. Nous le savons bien, trop bien ! un(e) coupable n’est pas forcément la personne qui commet une exaction, quelle qu’elle soit : crime, assassinat, vol... ou viol. Le(la) coupable est en toute logique celui ou celle que l’on désigne en tant que tel(le), montre du doigt, accuse, et déclare responsable. Mais la justice des hommes en la matière est forte pour inverser les rôles... justice ou injustice plutôt ! pour qui peut se sentir incompris.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Souvenez-vous le Titanic est le fameux paquebot transatlantique britannique qui va sombrer dans l’Océan Atlantique en 1912 à la suite d’une collision avec un iceberg, lors de son voyage inaugural. 1 500 personnes vont trouver la mort.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Une pièce comme il en existe si peu, un texte magnifique usant de l’alexandrin avec bonheur, documenté à souhait, dans une décor d’une intelligence folle qui se plie et se déplie, offrant ainsi des jeux à plusieurs niveaux... enfin du beau théâtre comme il est rare d’en voir dans le style des tréteaux de l’époque de Molière.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Drame de Magali Mougel, mise en scène de Anna Zamore, avec Frédérique Dufour, Evelyne Torroglosa et Lou Heyman.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Seul en scène écrit et interprété par Marthe Felten accompagnée par le musicien Michel Lapeyre dans une mise en scène de Cyrille Divry.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Seul en scène de et par Marie Pagès. Un bouquet de fleurs à la main, Rosette vient visiter Jean-Pierre. Ou plus exactement sa tombe. Un brin naïve, une petit peu maladroite, elle raconte son quotidien, mange un sandwich ou pousse la chansonnette (François Béranger, Daniel Guichard, Georges Brassens).
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Seul en scène conçu d'après des textes de Marc Favreau interprété par Marie THomas dans une mise en scène de Michel Bruzat.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Monologue dramatique écrit par Diastème et interprété par Frédéric Andrau dans une mise en scène de Diastème.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
La compagnie de l’Éternel Été propose une adaptation astucieuse de la célèbre pièce de Tchekhov, revisitée à l’aune du questionnement de trentenaires dépositaires d’un monde dont ils héritent au seuil de leur vie active. Une proposition esthétique et efficace, mais non sans interrogations.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
La compagnie de l’Éternel Été propose une adaptation astucieuse de la célèbre pièce de Tchekhov, revisitée à l’aune du questionnement de trentenaires dépositaires d’un monde dont ils héritent au seuil de leur vie active. Une proposition esthétique et efficace, mais non sans interrogations.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
La compagnie du PasSage propose jusqu’au 31 juillet au théâtre de l’Étincelle à Avignon une pièce intelligente adaptée d’une nouvelle de Fiodor Dostoïevski par Jean-Paul Sermadiras. Également interprète, ce dernier incarne admirablement, dans ce seul en scène, un homme condamné au « ridicule ».
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Comédie féministe par définition, Acid Cyprine nous surprend par sa créativité et son humour, par sa fraîcheur et l’interprétation des comédiennes, sans pour autant nous emmener au-delà des clichés que le spectacle abat méthodiquement les uns après les autres.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Écrit et interprété par Laëtitia Pitz, Perfidia se présente comme le récit de trois générations de femmes au fil du siècle passé. L’originalité de cette pièce est qu’il s’agit d’une lecture, une lecture qui nous surprend et nous émerveille tant elle est portée à son plus haut degré artistique.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Basé sur une histoire vraie : une petite fille de 11 ans est ligotée par sa professeure et devient le bouc émissaire de la classe, jusqu’à être mutilée. La compagnie luxembourgeoise du Théâtre du Centaure propose, à partir du monologue écrit par la Roumaine Mihaela Michailov, un spectacle coup de poing à la scénographie inédite et à l’interprétation exceptionnelle. Fabio Godinho met en scène avec maestria ce spectacle terriblement original dans sa forme et d’une puissance inouïe.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Écrit et mis en scène par Samuel Gallet, Visions d’Eskandar est une formidable plongée dans les ruines de notre temps, de nos villes et de nos humanités, en ce lieu intime où blessure et désir s’étreignent, où la vie redevient un possible. Un texte exigeant, servi par des comédiens et des musiciens de haute volée.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Ce spectacle décrit la construction d’un mythe, à partir du phénomène américain Colton Harris Moore. Une enquête aussi ludique que bien documentée, une aventure rocambolesque interprétée par des comédiens géniaux, un récit vrai, palpitant et terriblement émouvant !
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Natascha Rudolf propose une version épurée et contemporaine de la célèbre et scandaleuse Ronde, d’Arthur Schnitzler. Arnaud Chéron et Fanny Touron interprètent à eux deux les vingt personnages, accentuant la tristesse d’un texte qui décrit le désabusement sexuel d’une société incapable d’aimer.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Augustin Ledieu et Matthias Lauriot-Prevost nous invitent à un voyage au pays du jazz : un spectacle clownesque et musical, qui mêle à un rythme effréné et avec talent le théâtre, l’humour, le mime, la chanson, la musique et la danse.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Paris, 1668, Marquise, dans sa loge de l’Hôtel de Bourgogne se concentre avant d’entrer en scène… Elle joue Andromaque dans la pièce que Racine a écrite pour elle. Soudain surgit un lieutenant général de la police pour l’interroger, sur ordre du roi, sur les doutes concernant les écrits de Molière. La comédienne qui fit ses débuts dans la troupe de l’Illustre Théâtre et s’est mariée avec un des comédiens René Berthelot dit Du Parc ou Gros-René, est sans doute la mieux placée pour révéler si Molière, qui n’a laissé aucun manuscrit de ses pièces, a profité de la plume de son aîné Corneille. Cette question est le prétexte pour raconter tout le parcours de cette jeune fille, née Marie-Thérèse de Gordla et fille d’un bateleur, qui a fasciné les auteurs les plus illustres du XVIIe siècle jusqu’au roi Louis XIV.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
La pièce se déroule sur une longue période allant de 1943 à nos jours. On suit l’histoire des personnages à différentes époques de leur vie. Nous faisons d’abord connaissance avec Marcel Vasseur (Brice Hillairet), un jeune musicien déporté dans le camp nazi de Mauthausen où il doit jouer dans l’orchestre du bordel du camp. Vêtu d’une tenue dépenaillée, il apparaît à plusieurs reprises dans la pièce pour dévoiler la tragédie fondatrice des traumas de sa famille. Aussitôt la pièce enchaîne la fête du mariage d’Esther (Hélène Deguy) qui se déroule de nos jours. Nous y faisons connaissance avec le frère, Hervé (Pierre Hélie), le père, Georges (Bernard Malaka) et la mère, Nelly (Raphaëline Goupileau). Un peu plus tard, Esther, invitée dans une émission littéraire à la télévision s’effondre. Pour quelle raison les jambes d’Esther ont-elles cessé de la porter ? En s’appuyant sur la psycho-généalogie, une pratique clinique développée dans les années 1970 par Anne Ancelin Schützenberger selon laquelle les événements, les secrets, les traumatismes vécus par les ascendants d’un individu conditionnent ses troubles psychologiques, ses faiblesses constitutionnelles, Esther entreprend une enquête sur l’histoire de sa famille.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Matt Hartley, né en 1980 au début des années Thatcher, est un jeune auteur anglais. En 2007, sa pièce 65 Miles se voit décerner le prix Bruntwood. La pièce s’inscrit dans la lignée des histoires que Ken Loach ou Mike Leigh aiment évoquer, de Submarino de Thomas Vinterberg. La pièce est marquée par « le réalisme âpre symptomatique d’une société perdue » et les acteurs doivent jouer avec « les non-dits et la pudeur des sentiments » comme le souligne la metteuse en scène Paméla Ravassard.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Ce petit spectacle met en lumière les conditionnements sociaux liés à la question du genre qui persiste inconsciemment dans les esprits les plus éclairés. Nous sommes tous victimes de notre éducation et dans le meilleur des cas, nous nous faisons piéger par des réactions instinctives qu’il n’est pas facile de dompter. Si, d’une manière générale, nous pouvons espérer que nous n’en sommes plus à la distinction garçon-bleu/fille-rose (encore que…), de nombreuses injonctions insidieuses continuent de travailler en sourdine. Une fille dessine forcément des licornes et aime s’identifier aux princesses, les garçons aiment les costumes de superman, savent qu’ils ne doivent pas pleurer, mais qu’ils ont le droit de se salir en sautant dans les flaques. D’où viennent ces injonctions et leur cortège de conséquences brimantes ? Comment ne pas les interpréter comme autant d’instruments de pouvoir patriarcal qui mettent le féminin sous la coupe du masculin ?
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Partiellement autobiographique, cette courte nouvelle peu connue de Samuel Beckett, écrite en 1945, mais publiée seulement en 1970, nous plonge dans l’errance du narrateur après la mort de son père, de sa rencontre sur un banc avec une femme qui lui jette le grappin dessus et qu’il épousera. Il associe la perte de son père à son mariage avec cette Lulu qu’il quittera pour fuir les pleurs de leur enfant.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Romain Gary publie en 1960 son autobiographie intitulé La Promesse de l’aube dans laquelle Franck Desmedt a sélectionné certains passages qui rendent parfaitement compte de l’ouvrage. Dans un décor sobre avec une rose blanche posée délicatement sur un fauteuil, nous retrouvons Romain Gary, à l’allure impeccable, vêtu d’un costume trois pièces élégant qui évoque sa réussite sociale tant espérée par sa mère. Le comédien en fait un récit particulièrement vivant et parfois drôle dans lequel il incarne tous les personnages, dont la mère de l’écrivain, qui a joué un rôle clé dans la vie et dans la construction de la personnalité de Gary. Cette ancienne actrice russe, divorcée, sans argent, est animée d’une détermination à toutes épreuves pour que son fils réussisse et connaisse un destin exceptionnel. Elle voit en lui un futur Victor Hugo, le croit capable d’accomplir des exploits. Rien n’est impossible pour ce fils adoré. On perçoit clairement cette ambition et cet amour étouffant auxquels le fils tente de répondre du mieux possible. Franck Desmedt traduit avec finesse la complexité de cette relation très fusionnelle.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Nous vivons dans une société de plus en plus fragmentée et par là de plus en plus individualiste. Le sens du collectif et de la solidarité, l’idée que la société puise sa force dans la somme des individualités perdent du terrain et ce faisant ouvrent la porte à tous les conflits. Se conformer à la norme ne signifie pas disparaître dans les tréfonds de l’anonymat, mais peut s’entendre comme un consentement aux modus vivendi sociaux. Ceux qui n’ont pas de singularités à revendiquer se retrouvent coincés dans la case « normale », rejetés par les autres. Voilà bien ce qui choque Lucas, dix ans, qui ne comprend pas pourquoi il est mal vu d’être normal, sans caractéristiques particulières d’aucune sorte.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
On connaît le parcours redoutable de la fécondation in vitro du point de vue des femmes. Parce qu’il est incomparablement plus pénible que celui de l’homme, on ne sait pas grand-chose de l’expérience vécue côté masculin. Le comédien Marc Arnaud nous en offre un témoignage édifiant. Il a écrit un petit texte décapant qui conjugue la trivialité de la situation, l’avalanche de questions, de réflexions, de souvenirs suscités par cet acte décisif. Le personnage est au seuil d’apporter sa contribution au processus de fécondation. Alors que sa femme est au bloc pour la ponction ovarienne, après un parcours médical éprouvant, le futur père virtuel est confiné dans un espace minuscule et impersonnel, face à un gobelet supposé recevoir son sperme. Ainsi décrite, la situation n’a rien de poétique ni de très drôle. Quelques minutes dilatées au fil de scènes qui défilent à grande vitesse pour nous plonger dans le cours chaotique des pensées du personnage qui, évidemment tournent autour de la question sexuelle et de la paternité.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
John Steinbeck publie en 1939 son roman Les Raisins de la colère adapté l’année suivante au cinéma par John Ford avec Henri Fonda. Depuis les ayants droits de l’écrivain n’avaient jamais donné leur autorisation pour une adaptation théâtrale ou cinématographique. Après trois ans de discussions, une première adaptation française est enfin possible. Une formidable victoire qui permet d’entendre le texte majeur de cet auteur américain.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
La compagnie lilloise De fil et d’Os présente cette année au festival Off d’Avignon Mangeuse de terre, une histoire inspirée d’un passage du roman Cent ans de solitude de Gabriel Garcia Marquez. Nous retrouvons la célèbre cartomancienne Pilar Ternéra, interprétée avec énergie par Julie Canadas, qui établit un lien rapide et efficace avec le public pour nous entrainer dans une histoire qui s’est passée voici quelques années dans un petit village d’Amérique du Sud.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
La photo de Robert Capa « La tondue de Chartres » portant son bébé de trois mois dans les bras est à l’origine du spectacle écrit et mis en scène par Jean-Philippe Daguerre. Nous sommes dans le droit fil d’Adieu Monsieur Haffmann, spectacle très réussi (voir la critique de Gilles Costaz sur webtheatre.com, reprise au Théâtre de l’Oeuvre). L’histoire se déroule à la même époque tragique de la Seconde Guerre mondiale, au moment de la Libération, quand poussés par un désir de vengeance, certains ont fait la chasse à ces sorcières qui avaient eu des Allemands pour amants, les ont insultées, lynchées, parfois assassinées.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Au OFF, qui donc se poursuit dans certains lieux jusqu’au 31 juillet, Pierre Notte, oui Pierre Notte, met en scène Mauvaise petite fille blonde dans le minuscule Atypik Théâtre. Acide, corporel et faussement enfantin.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Dans un dispositif qui met en abîme le regard du spectateur, David Gauchard continue de creuser le sillon d’un théâtre au service des invisibles, des inaudibles. Une mise à nu salutaire et passionnante.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
La compagnie Mona Lisa Klaxon s’empare du texte de Genet pour l’emmener au Mexique avec une distribution clownesque et travestie. Jubilatoire.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Après s’être attaqué au tayloro-fordisme et à l’aliénation du travail avec Les Temps modernes (1936), le cinéaste britannique Charlie Chaplin prend les armes du 7e art pour lutter contre Hitler et le nazisme. Nous sommes en 1939, année charnière dans la vie de l’artiste qui est en pleine écriture du Dictateur (1940), une année retranscrite avec humour, gravité, finesse et sensibilité dans Chaplin 1939, une création de la compagnie Hé ! Psst !.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Jusqu’au 29 juillet à 11 h 30 au 11, Noémie Ksicova nous parle de ceux qui restent. Que faire après la mort d’un très proche, une fois la mort passée ? Comment gérer la présence des fantômes ? Loss met ces sujets sur la table.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Dans le jardin des Carmes jusqu’au 29 juillet, nous assistons à la confrontation d’un ancien boxeur devenu bibliothécaire avec une migrante pickpocket désabusée. Ou comment le noble art porte un uppercut aux idées reçues.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Le très talentueux Laurent Bazin est au Grenier à sel jusqu’à ce soir seulement, pour un thriller fantastique totalement immersif.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Accueilli à la Manufacture, Parpaing est un spectacle qui interroge le poids des secrets de famille et comment l’on s’en libère. Émouvant.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Entourée de François-Xavier Phan et Marina Keltchewsku, Marine Bachelot Nguyen signe une forme pertinente entre théâtre politique et parcours de vie individuelle, un voyage théâtral et historique.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Le chorégraphe Philippe Saire s’empare du texte de Tony Kushner Angels in America (Angels in America: A Gay Fantasia on National Themes), chef d’oeuvre écrit en 1991, au pic de l’épidémie de Sida.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Nicolas Kerszenbaum creuse la question des récits mythologiques et de l’écho qu’ils ont encore en nous. Un théâtre sans artifice qui dit la puissance atemporelle des récits. Transportant.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
De l’autre côté des Remparts d’Avignon, au Théâtre de l’Entrepôt, soit à une poignée de mètres du centre-ville palpitant où peut battre aussi très fort le cœur du OFF pour peu qu’on ose (ou pense) à s’en approcher, la Compagnie Mises en Scène poursuit sans se dérober le travail entrepris il y a plus de 30 ans pour révéler la parole « vivante et vibrante » des quartiers, des sans-voix, des oubliés, ceux qui sont de l’autre côté.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Ce sont les hors les murs que l’on aime à Avignon, ceux qui vous font prendre l’air vraiment. Le Train Bleu, entendez la hype du Off, vous emmène pour trois nuits de l’autre côté du pont, au Kabarouf, et ça danse !
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
C’est une famille brisée qui marie l’une de ses filles, Rachel. Le frère mort hante la fratrie, alors que sa sœur jumelle, Anna, sort d’un séjour en hôpital psychiatrique. Un torrent de sentiments emporte la famille dans ce huis clos porté par un collectif impeccable. Un vrai régal et une réflexion fine sur les liens qui nous unissent.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Que reste-t-il aujourd’hui de l’héritage de Jacques Chirac ? Derrière sa bonhomie apparente et ses mimiques grotesques, de quelle manière a t-il influencé la politique et la façon dont nous la percevons aujourd’hui ? Léo Cohen-Paperman, le metteur en scène, et son acolyte Julien Campani tentent de répondre à ces questions et ne sont pas tendres… mais de ce portrait se dégage aussi une certaine nostalgie et on rit beaucoup !
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Emilie Flacher met en scène avec finesse, le premier volet de la trilogie animale de Pau Miró. Quand l’animalité interroge le travail de deuil. Bluffant.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Samuel Gallet propose pour le OFF sa création 2019, un conte philosophique émouvant sur l’existence et ses contingences. Un très joli spectacle à l’écriture brillante.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
L’immense Emmanuelle Lafon est à Avignon, dans le Off d’Avignon. C’est fou. Elle est dirigée par Charlotte Lagrange dans L’Araignée, un texte découvert au Théâtre Ouvert cette année. À voir d’urgence à 10 h 20 au 11.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Le Grand Cerf Bleu est un collectif que nous aimons d’amour fou. Il dresse des portraits de société toujours truculents et ultra-contemporains. Ça ne loupe pas avec Partez devant qui se donne à la Manufacture.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Dans la toujours exigeante programmation du 11avignon, Frédéric R. Fisbach brille dans un monologue de Dieudonné Niangouna qui trouble et questionne. Passionnant.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Dans un atelier new-yorkais, Jackson Pollock et sa femme Lee Krasner, échangent sur le génie de celui qui est l’un des plus grands peintres américains du XXe siècle. Elle a sacrifié sa carrière pour lui et la pièce les imagine tous les deux dans l’atelier. Seuls.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Les pièces de Rémi De Vos sont toujours drôles, parfois tendres. Leur création exige un sens du rythme qu’Alain Timár a su insuffler à la troupe. Aux Halles, devant un public ravi, le talent des comédiens fait le reste.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Pauline Sales (nous avions applaudi son J’ai bien fait) revient avec une pièce à destination du jeune public sur la différence. Sa mise en scène au 11.Avignon est une telle réussite que chacun, petit ou grand, sera ravi de partager durant une heure cette jolie histoire.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Le théâtre des Béliers accueille la dernière création de Côme de Bellescize : Le bonheur des uns, une comédie éclairante et tragique sur les injonctions qui nous gouvernent.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Lors du procès Eichmann à Jérusalem, c’est Joseph Kessel journaliste qui, en 1961, couvre l’événement pour France Soir. À l’exigence journalistique s’ajoute naturellement le devoir de mémoire. Nous avons rendez-vous avec lui par le jeu d’Ivan Morane. Aussi édifiant que passionnant.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Sur un sujet malheureusement si ordinaire, l’auteur et comédien Didier Poiteaux nous invite pour un voyage dans un monde dont on voudrait ne rien savoir. Le geste généreux touche sa cible.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Dans une truculente pièce tragi-comique, Mariana Lézin explore par l’humour et la démesure la solitude du médecin. Le moment est drôle et édifiant.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
La metteuse en scène Véronique Bellegarde affronte tous les périls en se saisissant du texte de Stéphanie Marchais sur les pubertés précoces. Avec celle-ci, elle en écrit une adaptation théâtrale ; la pièce est magnifique, furieusement angoissante et définitivement indispensable.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Lorsque quatre femmes trentenaires décident de discuter entre elles de sujets « féminins », leurs échanges passent du coq à l’âne et s’emballent sans se départir jamais d’une curiosité joyeuse. De ce joyeux désordre est née un spectacle à trois comédiennes : SPECULUM, une pièce abracadabrante et sacrément édifiante.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
A la manière du grand ordonnateur d’un monde où la fiction est reine, Benjamin Abitan et son collectif du théâtre de la démesure explorent une écriture décomplexée où les histoires sont imbriquées les unes dans les autres, dans un monde futuro-scientifico-onirique. Déconcertant, inventif et audacieux.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Edward Bernays, le neveu de Freud fut aussi un génie. Il inventa des techniques de manipulation des masses et formalisa l’art de la communication. Julie Timmerman s’empare du personnage pour nous proposer dans une écriture de plateau un spectacle sur notre époque au travers de ce démocrate rêveur et machiavélique.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Un espace peuplé de petites créatures étranges qui évoluent dans un vaste monde inquiétant. Des marionnettes qui offrent leur fragilité et une poésie touchante dans leur manière d’habiter un futur oppressant où l’homme doit trouver son espace de liberté. Beau et délicat.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Un texte de jeunesse de Samuel Beckett, Premier Amour, devient un seul en scène à ne pas rater, avec l’interprétation solide mais singulière de Jean-Quentin Châtelain.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Quel point commun entre des militants anticapitalistes, de jeunes loups de la pub, Friedrich Nietzsche et le mythe de Sisyphe ? Le collectif Bajour s’empare de l’absurdité de nos vies et s’amuse à croquer une société où l’homme perd jusqu’à son essence même et flirte avec ses instincts les plus bas. Jouissif et audacieux.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Pour cette édition du OFF, Christophe Lidon signe deux mises en scène. Nous avons vu Mademoiselle Julie qui nous a ravis, emportés par le jeu de Sarah Biasini qui fait sensation.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
C’est dans le Lycée Pasteur que Charles Berling crée la pièce Fragments à partir de textes d’Hannah Arendt adaptés par Bérengère Warluzel. Le lieu souligne la première qualité de la pièce : la générosité d’un enseignement de la pensée.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Alix Andréani monte les trois scénettes de la pièce de Rémi De Vos, trois ruptures improbables et hilarantes. Avec une mise en scène épurée elle restitue le texte… et le rire.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
L’adaptation du roman prix Médicis 2011 Dans les forêts de Sibérie nous fait revivre sur scène l’expérience exceptionnelle de l’écrivain-aventurier Sylvain Tesson. Le seul en scène imaginé par Estelle Andréa et William Mesguich est une magnifique respiration.
En savoir plus30.07.21 / Presse / Critique spectacle
Après le succès du Fil à la Patte, la compagnie Viva revient avec un Feydeau explosif et déjanté. Une proposition réjouissante en cette période équivoque de fêtes et de mouvements sociaux. La troupe s’y amuse autant que le public.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Vendredi 23 juillet, dans la cour bien vidée du tourbillon de vie, nous avons rencontré Sébastien Benedetto, directeur du Théâtre des Carmes et Président d’AF&C, pour faire un bilan de l’édition 2021, qui a eu au moins la chance d’exister.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Vendredi 23 juillet, dans la cour bien vidée du tourbillon de vie, nous avons rencontré Sébastien Benedetto, directeur du Théâtre des Carmes et Président d’AF&C, pour faire un bilan de l’édition 2021, qui a eu au moins la chance d’exister.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Vendredi 23 juillet, dans la cour bien vidée du tourbillon de vie, nous avons rencontré Sébastien Benedetto, directeur du Théâtre des Carmes et Président d’AF&C, pour faire un bilan de l’édition 2021, qui a eu au moins la chance d’exister.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Au 11.Avignon, Yann Dacosta, fondateur de la Compagnie Chat foin, Stéphanie Chêne et Manon Thorel auscultent jusqu’à l’os les déclencheurs qui font qu’un garçon, somme toute sans histoire, bascule imperceptiblement pour devenir un monstre. Nourri de rencontres faites en prison avec des détenus, l’autrice Manon Thorel esquisse par touches le portrait-robot d’un tueur.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
À la manufacture-Patinoire, le collectif Bajour revient en force et en rire mordant, trois ans après nous avoir enchanté, avec Un homme qui fume… S’interrogeant sur l’absurdité du monde, de nos sociétés de plus en plus normées, de moins en moins humaines, Hector Manuel, à la mise en scène, et ses complices interprètes signent un spectacle intelligent et jouissif. Attention gros coup de cœur du OFF !
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Sales Gosses par le théâtre du Centaure est un spectacle coup de poing sur l’enfance maltraité, sur le droit à la différence. La surprenante mise en scène de Fabio Godinho est à découvrir à la Caserne.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Au théâtre du Train Bleu, Mélina Martin se glisse avec virtuosité, mordant et audace dans la peau de la plus belle femme du monde, Hélène de Troie. À travers l’image de ce personnage légendaire de la mythologie hellénique, la jeune gréco-suisse questionne à l’aune du monde d’aujourd’hui, l’amour, le mariage, le désir, le machisme, la violence faite aux femmes.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Au Théâtre du Chêne noir, à Avignon, Zabou Breitman, esquisse par touches le portrait en creux de la plus célèbre et la plus mordante des critiques dramatiques new-yorkaises du siècle dernier, Dorothy Parker.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Au Théâtre Actuel, La Dernière Lettre de Violaine Arsac est un spectacle qui bouleverse par la force de son propos et de sa représentation scénique. Portées par une troupe soudée, les comédiennes Noémie De Lattre et Marie Bunel nous offrent un grand moment de théâtre.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Aux Béliers d’Avignon, la nouvelle pièce d’Aïda Asgharzadeh, Les poupées persanes nous plonge, à travers le destin de quatre amis, de leurs descendances, dans l’histoire de l’Iran, des rêves d’une liberté mise sous voile. Dans la lignée de La main de Leïla, ce spectacle mis en scène par Régis Vallée nous a transporté.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Après Est-ce que j’ai une gueule d’Arletty ? Élodie Menant poursuit sa course vers le succès, au théâtre du Roi René, avec son nouveau spectacle, mis en scène avec rythme par Johanna Boyé, Je ne cours pas je vole ! On y fonce !
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
La nouvelle création des Épis Noirs, Allons Enfants !, est une leçon d’histoire déjantée et hilarante, qui décoince les zygomatiques, secoue les neurones et donne une pêche d’enfer ! C’est au Capitole à Avignon et on s’y précipite !
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Au Théâtre des Gémeaux, Salomé Villiers s’empare d’un des tubes théâtraux de Musset, On ne badine pas avec l’amour. Revisitée avec délicatesse et extrême finesse, cette comédie typique du courant romantique nous a mis le cœur en joie.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
À Avignon, dans le cadre du festival OFF, le théâtre Louis Aragon de Tremblay-en-France s’installe depuis 12 ans à la Parenthèse pour diffuser les artistes qu’ils ont durant l’année en résidence. Du krump au néoclassique en passant par le cirque, la Belle Scène Saint-Denis donne le pouls des courants émergents de la danse.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Avec La métamorphose des cigognes, Marc Arnaud traite d’un sujet qu’il connait bien pour l’avoir vécu, la fécondation in vitro ! Pour une fois qu’un homme aborde le sujet de son point de vue, cela donne un spectacle étonnant. Ce petit bijou d’humour et de tendresse se trouve au Train Bleu, alors on y court !
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Dans la mise en scène au cordeau de Christophe Lidon, Corinne Touzet et Raphaëline Goupilleau font résonner avec talent les mots de David Hare au Théâtre des Gémeaux. Juste une embellie qui illumine ce festival.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Comment se libérer de celui à qui l’on a donné tout pouvoir ? Camille Bardery, dans L’élu(e) explore son intime et ses souvenirs pour nous offrir, au Théâtre du Chêne noir, un spectacle bouleversant.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Présenté en juin à la Comédie Bastille, lors du Phénix festival, qui permettait de voir en avant-première des spectacles présentés au Off d’Avignon, Amour Amère de Niel Labute, mis en scène et interprété par Jean-Pierre Bouvier, s’installe, durant le Festival, à l’Espace Roseau teinturier. Une étonnante histoire d’amour à découvrir d’urgence.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Succès garanti pour la nouvelle création de Benoît Solès, La maison du loup, au Théâtre du Chêne noir à Avignon. Partant sur les traces du grand Jack London, l’auteur de la Machine de Turing nous raconte une histoire chargée d’humanité, où il est question de liberté, d’amitié, d’amour et d’espérance.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Aux Gémeaux, Jean-Marie Galey et Teresa Ovidio joignent leurs talents et leur complicité dans Camus Casarès, une géographie amoureuse, mise en scène par Elisabeth Chailloux. Un spectacle solaire pour une grande histoire d’amour.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Jean-Quentin Châtelain reprend Premier Amour de Samuel Beckett, mis en scène par Jean-Michel Meyer, au théâtre des Halles. Un grand texte et un grand comédien, une rencontre qui procure un bonheur immense aux spectateurs.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Après « Brigade financière » et « Le projet Poutine » une nouvelle pièce de Hugues Leforestier qui cette fois ne se déroule pas au XX° siècle mais au XVIII° met face à face Danton et Robespierre : quel programme !!!... Deux héros de la Révolution française, deux personnages hauts en couleur et tellement différents. Si ce sont tous les deux les chantres de la révolution, ils avaient tout pour les différencier. Danton était athlétique, amateur de bonne chère et orateur puissant alors que Robespierre était quelqu’un de fin, d’élégant, de réfléchi, de déterminé. Ce sont vraiment deux conceptions de la vie qui les opposent et les séparent.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Comment vit-on quand on veut être le sosie de X, que ce soit de Johnny, Gainsbourg ou Céline Dion ? Comment arriver à être soi ? Comment exister ? Pas facile cette vie d’apparence, car tout n’est alors qu’apparence, faux semblant. D’autant plus que le sosie en question n’est pas un sosie de luxe, reconnu et apprécié, non c’est du ringard de troisième zone, du sous-produit pour scène au fond d’un bistrot, du faux à deux balles. Il n’a ni la voix ni l’apparence. Nos héros de pacotille vivent dans le même immeuble, avec une pelouse encombrée de boîtes et de bouteilles de bière. C’est ringard à souhait, ils tirent la ficelle sans aucune reconnaissance. Série de portraits, d’instants de vie, de problèmes éculés. Il est Gainsbourg enfin il veut être, mais il se débat face à son fils adoptif qui rue dans les brancards et conteste son adoption, son prénom, ses parents en fait. Il ne veut plus en entendre parler mais il est aussi paumé que ses parents alors pas facile de prendre le cap de la liberté. Il rencontre une fille paumée elle aussi qui veut réussir dans la vie mais sans se forcer. En rencontrant le pseudo sosie de Johnny elle veut elle aussi rentrer dans cet univers où elle pourrait se faire un quart de SMIC par représentation.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Une plongée au milieu de la jeunesse, non professionnelle théâtralement parlant, née de parents ayant vécu l’exil et résidant dans des quartiers populaires. Cela permet de voir leur position par rapport à la religion, les traditions, à la culture en général et quelle vision ils ont des relations amoureuses. En passant par leur corrélation au corps et aux différents genres. Enfin comment s'expriment et se transmettent les notions de maternité et de paternité. Bien des interrogations et bien des prises de position où la culture originelle prend le pas sur la culture française, où parfois le doute s'installe, où rien n'est établi avec certitude. Chaque jeune a son histoire, et sa culture familiale, importée d’Afrique noire ou d’Afrique du nord. Cette connaissance leur donne un outil pour se positionner, s’affirmer, non pas pour comprendre, mais se placer, exister. Chacun apporte sa vision et l'ensemble donne un kaléidoscope où s'inscrivent les civilisations des uns et des autres, où se précisent les mythes.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Quand arrive la nouvelle de l'évolution de l'entreprise en difficulté, quand ils apprennent qu'ils vont fabriquer des poupées grandeur nature en silicone, ils ne sont pas tous du même avis. Nora se sent humiliée par ces poupées, elle va alors mener un combat contre le projet. Son mari Thierry au contraire croit dans cette restructuration, il y voit même un succès économique à terme. Par la même occasion le père de Thierry atteint par la maladie d’Alzheimer voit dans cette poupée une compagne qui le fait progresser, il en est de même de son médecin qui voit l’opportunité de changer de vie. On est donc dans cette logique où l'entreprise pourrait aporter une évolution et permettre à ses employés de trouver les moyens d'une nouvelle vie d'autant plus que les héros vont être parents et ont besoin d'une maison plus grande. Bien sûr cela pose le problème de la moralité de cette nouvelle fabrication, ces poupées très réalistes posent de nombreux problèmes et sont l'objet de bien des réflexions : qu’en est-il de la femme face à ces êtres factices mais si ressemblant au réel et surtout très dociles.
En savoir plus28.07.21 / Presse / Critique spectacle
Laissez votre imaginaire vagabonder dans l’univers poétique de la Compagnie du Sans-Soucis. Sur les thèmes de l’écologie et du temps qui passe, leur spectacle, La Fabrique, raconte l’histoire d’un petit garçon, né à la campagne, pas très loin de la ville, qui voit en grandissant le champ, où il aimait gambader à l’ombre d’un grand arbre, se faire dévorer par l’urbanisation. Une table, des bouts de ficelle, des morceaux de papier, qui se transforment et surgissent, deux manipulateurs (Max Legoubé et Tom A. Reboul), des petites notes de musique, et nous voilà projetés dans un magnifique livre illustré !
En savoir plus27.07.21 / Presse / Critique spectacle
Tartuffe, ou les femmes prennent le pouvoir ! Et c’est vrai que ce sont bien elles qui font avancer les choses dans la pièce de Molière. Dorine et Elmire sont des personnages forts, de ces rôles féminins pas si courants dans les oeuvres de cette époque-là. Le pari de cette adaptation est donc une interprétation par trois comédiennes-musiciennes seulement qui se partagent les rôles féminins. Masquées, elles jouent également, dans l’esprit commedia dell’arte les deux rôles d’homme conservés Tartuffe bien sûr et Orgon, qu’elles peuvent ainsi ridiculiser à souhait.
En savoir plus27.07.21 / Presse / Critique spectacle
Il interprète le rôle d’Adrien, enfant différent, qui a du mal à communiquer avec les autres, qui prend tout au premier degré, dans une famille où on ne l’aide guère. Mais Adrien a son refuge. La musique. Les percussions. De quoi s’évader totalement de ce monde d’incompréhension. Tout est son, tout est rythme, tout est musique. La batterie devient son graal, lui qui jouait jusqu’alors sur des bidons de lessive, et toute sa vie. Il écoute tout, joue tout, du jazz à la bossa nova ou au rock. Grace à la musique, il fait de belles rencontres et s’épanouit pleinement. Mais son entourage ne voit pas cela d’un très bon œil…
En savoir plus27.07.21 / Presse / Critique spectacle
Quelque part dans un bar perdu du Bronx, Roberta rencontre Danny. Deux êtres perdus, cabossés par la vie, emplis de violence et de cris, de fureur et de larmes. On l’appelle « la Bête », tant il est incapable de se contrôler. Et elle, quel est son secret qu’elle pense bien pire que le sien? S’accrochant l’un à l’autre comme à un radeau à la dérive, englués dans la culpabilité, et le manque d’estime d’eux-mêmes, ils vont se livrer à de terribles confidences sur leur passé. Mais au bout du naufrage, ne peut-il pas y avoir une lueur d’espoir? D’apaisement en tout cas? Deux interprètes particulièrement engagés, un voyage dans les ténèbres dérangeant parfois, marquant en tout cas, à voir jusqu’au 31 !
En savoir plus27.07.21 / Presse / Critique spectacle
1989, en Suisse. A l’issue d’un concert, le célèbre chef d’orchestre Miller, pressenti pour diriger bientôt le prestigieux philarmonique de Berlin, regagne sa loge. Soudain, on frappe à la porte. Un admirateur ? Oui, cela doit être cela, il réclame un autographe, puis une photo… mais le voilà qui s’incruste, et que son comportement devient particulièrement étrange. Et surtout, il semble en connaître sur le passé de Miller bien plus qu’il ne le devrait… le malaise s’installe.
En savoir plus27.07.21 / Presse / Critique spectacle
Avis aux festivaliers qui se lèvent tôt : au Théâtre des Corps Saints se joue en ce moment, Flagrant déni, une formidable pièce adaptée de six nouvelles de Guy de Maupassant, mise en scène par Catherine Benhamou.
En savoir plus27.07.21 / Presse / Critique spectacle
Sylvain, un jeune cerf qui n'a pas encore de bois, se sent différent, il aimerait tant être comme son grand frère et son père. Une suite d'aventures lui permettra de se confronter à lui-même. Mêlant différentes formes de théâtre d'ombres et d'objets, ce conte initiatique, poétique et ludique traitant de l’être et du paraître, vous emmènera dans un univers féérique.
En savoir plus27.07.21 / Presse / Critique spectacle
Jeune ou vieux, tout est relatif. Une chose est sûre, vous appartenez à une GÉNÉRATION... vos petites habitudes vous ont dénoncés. Et elles sont drôles ces petites manies ! Au travail ou en famille, quand les générations se rencontrent, les situations deviennent cocasses. Les rires explosent, ça fait des étincelles ! Attention, risque élevé de se reconnaître et d’y croiser ses parents ou ses enfants !... vous êtes prévenus !
En savoir plus27.07.21 / Presse / Critique spectacle
A l'heure où la nuit tombe, les lumières du théâtre s'éteignent. C'est ici que Peter Pan a perdu son ombre. Redécouvrez le conte fantastique de James Matthew Barrie et envolez vous pour le Pays Imaginaire ! Partez avec Wendy et John à la rencontre des pirates et des fées. Vivez les aventures extraordinaires de Peter Pan et son célèbre rival, le Capitaine Crochet. Plongez au cœur d'un monde magique où le temps s'est arrêté depuis bien longtemps !
En savoir plus27.07.21 / Presse / Critique spectacle
Le descendant de Van Helsing a décidé de rétablir la vérité sur l’histoire du plus célèbre des vampires : Dracula. Il décide donc de créer un spectacle grandiose avec d’énormes moyens. Mais suite à une divergence avec son équipe, il se retrouve seul avec trois figurants et quelques décors. Les situations catastrophiques vont alors s’enchaîner à un rythme infernal pour le plus grand bonheur des spectateurs !
En savoir plus27.07.21 / Presse / Critique spectacle
Délicieuse(s) : le thriller musical qui nous est resté sur l’estomac
En savoir plus27.07.21 / Presse / Critique spectacle
L’élue : un seul en scène qui raconte l’emprise affective
En savoir plus27.07.21 / Presse / Critique spectacle
Mauvaise petite fille blonde de Pierre Notte nous plonge dans la caboche d’une gamine ordinaire qui découvre que le monde qui l’entoure est un lieu bien étrange. Ce texte fort, interprété avec malice par Antonio Interlandi se donne durant le Festival Off d’Avignon à l’Atypik théâtre. Croix de bois, croix de fer si je mens allez en enfer, ce spectacle mérite votre attention.
En savoir plus27.07.21 / Presse / Critique spectacle
Françoise Cadol s’est emparée du roman de Grégoire Delacourt, La femme qui ne vieillissait pas, pour nous rappeler que les rides sont les marques de notre vie et qu’elles doivent se lire comme un livre d’histoire. Ce délicat spectacle s’installe durant le Festival Off d’Avignon au Buffon théâtre.
En savoir plus27.07.21 / Presse /
Avignon le Off. Une fillette violée par son grand cousin Georges, une grossesse non désirée suite à un viol, les images font mouche, les mots sont crus…Corinne Merle a écrit un texte violemment féministe et très étayé, qu’elle défend avec ses tripes.
En savoir plus